Appel à témoins : Affaire des disparus du fort de Tamié

Mis à jour le 06/05/2024
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L’affaire des disparus du fort de Tamié intègre « En quête d’indices », un dispositif innovant d’appel à témoins porté par le ministère de la Justice et le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer. Il vise à obtenir de nouveaux témoignages grâce à l’utilisation d’outils numériques afin de relancer des enquêtes du Pôle des crimes sériels ou non élucidés.

Au fort de Tamié, site historique dans la commune de Mercury en Savoie, deux personnes ont disparu à un an d'intervalle : Jean-Christophe Morin le 11 septembre 2011 et Ahmed Hamadou le 8 septembre 2012. Ils ont tous les deux été aperçus pour la dernière fois dans le cadre d'un festival de musique électronique « Elements » organisé dans cet ancien fort militaire de 2010 à 2012. Transférée au parquet de Nanterre le 1er mai 2022, l'enquête n'a à ce jour pas réussi à élucider les circonstances de ces deux disparitions.

Vous pouvez aider les enquêteurs à résoudre l'enquête des disparus du fort de Tamié.
Votre témoignage est la clé.

Vous avez participé à l'une des éditions de ce festival ou vous habitiez dans la région à l'époque de ces deux disparitions ? Nous avons besoin de vous !
Souvenirs, photos, vidéos : tout renseignement même anodin concernant les disparus, ou plus largement sur l'une des éditions de ce festival, peut nous aider.
Les enquêteurs seront en mesure de vérifier vos informations si celles-ci vous paraissent incertaines.
Grâce à votre témoignage, vous pouvez relancer l'enquête !

Apportez votre témoignage ici :
https://www.interieur.gouv.fr/enquete-indices-affaire-disparus-fort-tamie

À propos d’« En quête d’indices »
Le dispositif d’appel à témoins En quête d’indices a été présenté par le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer et le ministère de la Justice le 2 avril 2024. Il s’agit de vidéos courtes retraçant des enquêtes à la suite de crimes sériels ou non élucidées suivies par le pôle national et pour lequel les enquêteurs et magistrats cherchent à recueillir des informations auprès du grand public. L’affaire des disparus de Tamié est la deuxième à intégrer le dispositif.